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Introduction : La Couronne et le Regard de la Nation
L'Attrait Durable de Miss Côte d'Ivoire
Miss Côte d'Ivoire est bien plus qu'un simple concours de beauté ; elle représente une institution culturelle nationale profondément ancrée dans le tissu social ivoirien. Créé en 1996 par le Comité d'Organisation Miss Côte d'Ivoire (COMICI), sous la présidence de longue date de Victor Yapobi, ce concours annuel couronne une jeune femme ivoirienne (âgée de 17 à 25 ans révolus, mesurant au minimum 1,68 m) comme symbole de la beauté et de la grâce du pays.1 Bien avant la création du COMICI, l'histoire de Miss Côte d'Ivoire remonte à 1956, lorsque Marthe Niankoury fut la première à remporter la couronne ivoirienne.1
Né à Goma en 1990, Sinzo Aanza est un talentueux artiste congolais qui repousse les frontières de la fiction. Auteur dramatique reconnu, il explore la radicalité de la fiction à travers des pièces qui questionnent et fascinent. Sa dernière création, "Histoire générale des murs", sera mise en lecture à l'occasion de la 4e édition des Rencontres dramaturgiques de Kinshasa.
Je ne conçois pas mon engagement au sein d’IKODI IT & DESIGN comme un simple métier. C’est une vocation. Celle de mettre la technologie et la créativité au service des idées qui élèvent, des peuples qui s’éveillent, et des voix qui méritent d’être entendues. À ce titre, je veux dire ici toute mon admiration pour la voie empruntée par le Kimbanguisme, qui, depuis ses origines prophétiques, inscrit son action dans le double souffle de la foi et du savoir.
Dédicace
À celles et ceux qui doutent, qui questionnent, qui résistent à l’engouement technologique sans critique —
Cet éditorial est dédié aux sceptiques de l’intelligence artificielle. Non pour les convaincre de s’y soumettre, mais pour reconnaître la valeur de leur vigilance. Car c’est par le doute que la vérité respire, et par la pensée critique que la technologie reste un outil — non une idole.
Éditorial
L’annonce est tombée comme un couperet : selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), 2024 est l’année la plus chaude jamais enregistrée. Avec une température moyenne dépassant de +1,52 °C les niveaux préindustriels, cette alerte planétaire est un signal d’alarme pour toute l’humanité. Mais à Kinshasa, cette réalité mondiale prend une tournure plus dramatique encore, car elle se heurte à une vulnérabilité locale aggravée par un urbanisme désordonné, souvent irresponsable.
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